Pétition unitaire SNUDI-FO 37, SNUIPP FSU 37, SE UNSA 37 et CGT Educ Action 37 pour obtenir satisfaction pour toutes les demandes de temps partiels.
Refus de temps partiels : pétition unitaire

Pétition unitaire SNUDI-FO 37, SNUIPP FSU 37, SE UNSA 37 et CGT Educ Action 37 pour obtenir satisfaction pour toutes les demandes de temps partiels.
Le Ministre est responsable du chaos dans les écoles avec sa reprise de classe qui n’est en pas une. A défaut d’équipements de protection et de tests suffisants, le Ministre continue de transformer l’école en garderie suscitant des tensions dans les écoles notamment avec les parents et laissant les maires décider de l’organisation.
La colère gronde. En témoignent les manifestations chez les personnels hospitaliers (Clichy, Saint-Etienne, Lyon, …) mais aussi dans notre secteur (Rouen, Tours, …). Tous les salariés, tous les personnels sont excédés par les mesures d’exception prises par le gouvernement au nom de l’état d’urgence qui n’a de sanitaire que le nom.
Participez aux réunions d’information syndicale du Snudi FO afin de vous informer sur vos droits, mais aussi sur ce qui nous attends dans les mois à venir !
Alors que le gouvernement a rouvert les établissements scolaires depuis le 11 mai, sans tests de dépistage systématique, sans masques FFP2, en faisant appliquer localement un protocole sanitaire inapplicable, il continue avec la loi d’urgence sanitaire la destruction des services publics, notamment en renforçant la territorialisation de l’école.
Chaque jour qui passe met un peu plus en évidence que la crise du Covid-19 devient prétexte à poursuivre et amplifier les contre-réformes engagées à l’encontre de l’école publique républicaine et ses personnels.
Dans sa déclaration, la FNEC FP FO a condamné l’état d’urgence, les mesures d’exception, la territorialisation de l’école, le projet de loi qui avance vers un statut de directeur d’école et la mise en place d’écoles autonomes.
Communiqué intersyndical et département de la CGT, de FO, de la F.S.U. et de Solidaire.
Face à un protocole sanitaire aussi inadapté qu’inadaptable pour les élèves des écoles élémentaires et maternelles, des Professeur(e)s des écoles décident de saisir la Défenseuse des Enfants.
La FNEC FP-FO intervient pour rappeler ses positions : aucune prime, aucune indemnité ne
constituera jamais une politique salariale digne de ce nom. Les personnels de l’Education nationale sont paupérisés depuis 20 ans, et plus encore ces 10 dernières années par le gel du point d’indice et le ralentissement des carrières. Nous exigeons l’ouverture de négociations salariales pour une revalorisation significative de la valeur du point d’indice.
La FNEC FP-FO revendique le retrait immédiat de la loi sur « l’état d’urgence sanitaire », que le gouvernement vient de prolonger, toujours sans tests de dépistage systématique, sans masques, sans mesures réellement sanitaires. Il se donne les pleins pouvoirs pour imposer des conditions de reprise au service d’un objectif : précipiter la destruction des services publics, généraliser la déréglementation. Pleins pouvoirs également aux employeurs pour faire voler en éclats toutes les règles inscrites dans le Code du Travail, les conventions collectives et les statuts. Cet état d’urgence s’accompagne d’une remise en cause des libertés fondamentales sans précédent en temps de paix.
Dans ce domaine comme dans d’autres, la crise du Covid-19 n’a aucunement infléchi les projets du ministère : en effet la nouvelle présentation le 14 mai du projet d’arrêté «fixant le cadre national des formations dispensées au sein des masters MEEF» enkyste la «masterisation», accroît la contractualisation et constitue une attaque en règle contre les concours et les statuts.
Profitant de la crise sanitaire, dans le droit fil de la politique du gouvernement qui organise la territorialisation/destruction de l’école publique pour la transformer en garderie municipale et remettre en cause le statut des enseignants, plusieurs députés ont déposé une proposition de loi créant une fonction de directeur d’école qui serait un premier pas vers la création d’un statut de directeur !
La pseudo-rentrée du 11 mai révèle et confirme l’imposture du gouvernement et du ministre.
Il est clair que ceux-ci utilisent la crise sanitaire pour dérèglementer les missions des enseignants et territorialiser l’école publique. Les mairies sont sommées de prendre en charge les conditions de la reprise, de décider des horaires, des fonctionnements des écoles, au mépris du statut et des conditions de travail des enseignants.
Le CHSCT-D s’est réuni cet après-midi. Hélène Nizou, Ségolène Jeanson (titulaires) et Sophie Varennes (suppléante) siégeaient pour la FNEC-FP FO.
Depuis la décision de confinement prise par le gouvernement, l’incertitude plane sur la situation des stagiaires et leur condition de titularisation.
Plusieurs possibilités étaient évoquées par le ministère : prolongation de tous les stagiaires jusque décembre 2020, prolongation des stagiaires qui ne rempliraient pas selon l’administration les conditions de titularisation…
Suite à notre procédure d’alerte et notre courrier adressé à l’IA-DASEN ce Week-end, celui-ci a reçu Jérôme Thébaut, secrétaire départemental et Hélène Nizou, déléguée CHSCT-D pour le SNUDI-FO 37 ce soir.
Nous avons rappelé nos revendications à savoir le dépistage des personnels et élèves ainsi que les masques FFP2.
Dans le cadre des réouvertures des écoles, retrouvez ici les fiches du Registre Santé & Sécurité au Travail (RSST) et Danger Grave et Imminent que nous vous encourageons vivement à remplir et nous transmettre si vous apercevez le moindre manquement au protocole sanitaire, ou si quoi que ce soit met en jeu votre santé ou votre sécurité.
Nous avons été stupéfaits à la lecture de la fiche pédagogique « Coronavirus et risque de replis communautaristes », publiée sur le site du ministère, et annexée à la circulaire du 5 mai 2020 relative à la réouverture des établissements scolaires.
Le ministre de la culture Frank Riester a indiqué : « Avec mon collègue Blanquer ministre de l’Education, je présiderai dès demain un Conseil de l’Education Artistique et Culturelle. Nous allons créer une plateforme pour que les artistes puissent aller le plus possible au contact avec les élèves, ça c’est vrai jusqu’à fin mai mais également cet été… A partir du 11 mai, nous allons rouvrir les écoles de façon différente de ce qui était le cas précédemment ; saisissons cette opportunité unique pour développer l’éducation artistique et culturelle. »
Les projets de « protocoles », dont tout le monde a été destinataire avant les organisations syndicales, ont mis en lumière l’impréparation et la précipitation du ministre face aux injonctions présidentielles et patronales pour une réouverture « coûte que coûte » le 11 mai. Ils ont aggravé les craintes des personnels désireux de reprendre, mais pas au prix de leur santé. Les versions définitives des protocoles ne font qu’aggraver ces craintes qui se muent en colère.
Retrouvez ici quelques extraits du courrier que nous avons adressé à l’IA-DASEN de l’Indre & Loire
Retrouvez ici le courrier envoyé par le Snudi FO au ministre de l’Education Nationale le 7 mai 2020.
Ce matin, 55 professeurs des écoles se sont réunis en TéléRIS à l’initiative du Snudi FO afin d’évoquer la « reprise » du 11 mai 2020.
Le Comité Technique Ministériel de l’Education nationale, réuni le 5 mai en présence du ministre, avait à l’ordre du jour la réouverture des écoles et des établissements.
Siégeaient à la CAPD 3 délégués SNUDI-FO sur 3 sièges de titulaires (Jérôme Thébaut, Yvan Moquette et Hélène Nizou) et 5 délégués SNUIPP FSU sur 7 sièges de titulaires.
Les procédures à suivre ont enfin été publiées par l’Inspection Académique !
Le SNUDI-FO appelle les collègues à s’associer à cette prise de position d’enseignants du Chinonais !
Déjà plusieurs communes d’Indre-et-Loire constatant l’impossibilité d’assurer la sécurité sanitaire ont fait le choix de ne pas rouvrir les écoles. D’autres comme Tours ont décidé de reporter la reprise (14 mai) ou comme St Pierre des Corps s’interrogent.
Méprisant la sécurité des personnels et des élèves, le
gouvernement utilise la crise sanitaire pour avancer vers la
territorialisation de l’école publique et la transformer en garderie !