« Pendant la seconde guerre mondiale, les habitants de Londres ne se plaignaient pas auprès de Winston Churchill du bruit des avions la nuit… »
Jean-Michel Blanquer lors du point « sanitaire » du 11 février
« Pendant la seconde guerre mondiale, les habitants de Londres ne se plaignaient pas auprès de Winston Churchill du bruit des avions la nuit… »
Jean-Michel Blanquer lors du point « sanitaire » du 11 février
Le conseil constitutionnel a rendu son avis sur la loi du pass sanitaire et l’obligation vaccinale applicable à partir du 9 août.
Le ministre Blanquer a publié le 28 juillet un énième protocole sanitaire pour le fonctionnement des écoles, collèges et lycées avec sa cohorte habituelle de mesures inapplicables (non brassage des élèves, distanciation…) qui vont peser sur les personnels.
Le projet de loi relatif à la gestion de la crise sanitaire, validé par la commission mixte paritaire, a été voté le 25 juillet dernier par le parlement, et le conseil constitutionnel rendra son avis le 5 aout prochain.
A la suite des annonces du Président de la République et dans le contexte de la suspension de l’accueil en présentiel dans les établissements scolaires, il convient de mettre en place un dispositif d’accueil des enfants des enfants de personnels indispensables à la crise sanitaire qui n’auraient aucune solution de garde.
Mardi 16 février a eu lieu une réunion dite « sanitaire » avec le Directeur de cabinet du ministre. La FNEC FP-FO est tout d’abord intervenue pour déplorer que celle-ci se tienne en visio alors que les personnels sont tous dans leur classe. La FNEC FP-FO a demandé le retour de toutes les instances départementales, académiques et nationales en présentiel.
La suspension du jour de carence pour COVID ne peut se faire qu’en passant par declare.ameli.fr et non par par un arrêt de travail fourni par leur médecin.
Prenez contact avec nous avant toute démarche !
Alors que depuis la reprise, le nombre d’ATSEM et d’enseignants cas positifs et contacts ne cessent d’augmenter, l’IA-DASEN, sur consignes de l’ARS, n’a pris aucune décision pour protéger les autres personnels.
Des collègues de 2 écoles du département nous ont saisis depuis hier concernant des cas COVID et cas contacts en chaîne chez les adultes (enseignants et ATSEM).
Le ministre a réuni jeudi 29 octobre les organisations syndicales concernant les conditions dans lesquelles vont se dérouler la rentrée scolaire suite aux déclarations du Président Macron. Alors que le gouvernement communique sur la progression et la dangerosité de l’épidémie, où en sommes-nous des revendications concernant la protection du personnel enseignant ?
Le Président Macron a décrété mercredi un nouveau « confinement » en mettant en avant la progression de l’épidémie et la saturation des lits d’hôpitaux.
Il a annoncé que les écoles, les collèges et les lycées resteront ouverts…
Cela pose une nouvelle fois la question de la protection des personnels.
Les organisations syndicales dites « représentatives » ont été invitées par le ministère à assister à un « point d’étape » sur la situation sanitaire. Les chiffres COVID du Ministère une semaine avant la sortie ont été donnés : 30 établissements fermés, 300 classes, 1 000 cas confirmés quotidiens (1/3 personnels 2/3 élèves) soit moins de 0.1%
Depuis quelques heures, la presse rend compte de la potentielle dangerosité des masques DIM fournis par le Ministère de l’Education Nationale à l’ensemble de ses personnels. Ils sont traités à la zéolite de cuivre et d’argent substances considérées comme toxique pour la santé humaine et l’environnement.
La FNEC FP FO Orléans Tours s’élève vigoureusement contre le courrier du 17 septembre de Madame la Rectrice de l’Académie adressé aux AED, leur indiquant notamment « puisque les brassages inhérents à vos activités ne peuvent guère être limités, c’est votre sens civique et des responsabilités qui permettra de freiner la propagation du virus, pour votre santé et le bon fonctionnement des établissements que vous fréquentez. »
Dans un groupe de travail du CHSCT ministériel, les représentants du personnel dont ceux de la FNEC FP-FO ont tenté d’éclaircir la situation qui est réservée à certains personnels.
Le ministre voudrait imposer aux personnels un protocole dit « sanitaire », présenté le 27 août sans avoir recueilli l’avis des représentants au Comité d’Hygiène et Sécurité Conditions de Travail (CHSCT).
Suite à une audience avec le ministre de l’Education nationale, la FNEC FP-FO a décidé de ne pas siéger au CHSCT Ministériel qui se tiendra Jeudi 27 août 2020.
Le Ministre est responsable du chaos dans les écoles avec sa reprise de classe qui n’est en pas une. A défaut d’équipements de protection et de tests suffisants, le Ministre continue de transformer l’école en garderie suscitant des tensions dans les écoles notamment avec les parents et laissant les maires décider de l’organisation.
La FNEC FP-FO intervient pour rappeler ses positions : aucune prime, aucune indemnité ne
constituera jamais une politique salariale digne de ce nom. Les personnels de l’Education nationale sont paupérisés depuis 20 ans, et plus encore ces 10 dernières années par le gel du point d’indice et le ralentissement des carrières. Nous exigeons l’ouverture de négociations salariales pour une revalorisation significative de la valeur du point d’indice.
Suite à notre procédure d’alerte et notre courrier adressé à l’IA-DASEN ce Week-end, celui-ci a reçu Jérôme Thébaut, secrétaire départemental et Hélène Nizou, déléguée CHSCT-D pour le SNUDI-FO 37 ce soir.
Nous avons rappelé nos revendications à savoir le dépistage des personnels et élèves ainsi que les masques FFP2.
Dans le cadre des réouvertures des écoles, retrouvez ici les fiches du Registre Santé & Sécurité au Travail (RSST) et Danger Grave et Imminent que nous vous encourageons vivement à remplir et nous transmettre si vous apercevez le moindre manquement au protocole sanitaire, ou si quoi que ce soit met en jeu votre santé ou votre sécurité.
Nous avons été stupéfaits à la lecture de la fiche pédagogique « Coronavirus et risque de replis communautaristes », publiée sur le site du ministère, et annexée à la circulaire du 5 mai 2020 relative à la réouverture des établissements scolaires.
Les projets de « protocoles », dont tout le monde a été destinataire avant les organisations syndicales, ont mis en lumière l’impréparation et la précipitation du ministre face aux injonctions présidentielles et patronales pour une réouverture « coûte que coûte » le 11 mai. Ils ont aggravé les craintes des personnels désireux de reprendre, mais pas au prix de leur santé. Les versions définitives des protocoles ne font qu’aggraver ces craintes qui se muent en colère.
Le Comité Technique Ministériel de l’Education nationale, réuni le 5 mai en présence du ministre, avait à l’ordre du jour la réouverture des écoles et des établissements.
Les procédures à suivre ont enfin été publiées par l’Inspection Académique !
Le SNUDI-FO appelle les collègues à s’associer à cette prise de position d’enseignants du Chinonais !
Méprisant la sécurité des personnels et des élèves, le
gouvernement utilise la crise sanitaire pour avancer vers la
territorialisation de l’école publique et la transformer en garderie !
Il ne resterait plus qu’un seul jour ouvrable aux écoles et plus particulièrement aux directeurs pour établir le schéma d’organisation exigé par l’IA-DASEN à partir du protocole sanitaire (que vous retrouverez dans cet article)
La FNEC FP-FO de l’académie Orléans-Tours a lancé ce jour une procédure d’alerte auprès de la Rectrice. Un CHSCT académique aura lieu le 5 mai, dont nous vous rendrons compte. Vous trouverez ci-dessous ainsi qu’en pièce jointe le courrier envoyé.
En plus d’engager leur santé, le gouvernement entend aussi engager la responsabilité juridique des directeurs et en profite pour avancer vers le statut de chef d’établissement !