TOUS EN MANIFESTATION le 1er mai 10h30 place de la Liberté à Tours avec la CGT, FSU, UNSA, Solidaires
1er Mai : dès maintenant, montrons que nous ne laisserons pas faire !
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TOUS EN MANIFESTATION le 1er mai 10h30 place de la Liberté à Tours avec la CGT, FSU, UNSA, Solidaires
Macron a présenté son projet de privatisation et de destruction de l’enseignement public, voulant remplacer les fonctionnaires par des contractuels, et renforçant l’autonomie locale des écoles et des établissements.
« Pendant la seconde guerre mondiale, les habitants de Londres ne se plaignaient pas auprès de Winston Churchill du bruit des avions la nuit… »
Jean-Michel Blanquer lors du point « sanitaire » du 11 février
Après la journée de grève massive jeudi 13 janvier, que retenir des annonces de Castex et Blanquer ? Certes ils ont été déstabilisés par l’ampleur de la grève, ils ont été contraints de recevoir les organisations syndicales, de changer de ton… mais leurs réponses sont-elles à la hauteur de la mobilisation ? Pour le SNUDI-FO la réponse est non !
La grève jeudi 13 janvier dans l’Education nationale a été un succès historique : une grève massive, des milliers d’écoles voire d’établissements fermés, des manifestations puissantes… Les parents d’élèves ont partout apporté leur soutien au personnels grévistes.
Depuis la rentrée de janvier la colère explose dans les écoles. Les personnels n’en peuvent plus des protocoles Blanquer (le 49ème étant sorti le 6 janvier). Ils n’en peuvent plus…
Pour les personnels du CROUS de Paris, comme dans les hôpitaux et en beaucoup de services publics, la crise Covid n’a fait que révéler une situation devenue intenable.
Le 5 octobre est, en France, un jour de mobilisation interprofessionnelle à l’appel des confédérations FO et CGT avec la FSU, Solidaires, FIDL, MNL et UNEF. C’est aussi la journée internationale des enseignants. Les attaques contre les statuts des enseignants s’inscrivent dans un ensemble qui foule aux pieds les conquêtes sociales arrachées de haute lutte après la deuxième guerre mondiale.
En visite à Marseille, le président Macron a déclaré : « Il faut qu’on ait des directeurs d’école à qui on permet d’avoir un peu plus d’encadrement. Il faut que…
A la veille de la reprise, le gouvernement prétend répondre aux inquiétudes des personnels en décrétant des mesures « sanitaires », comme l’extension des demi-jauges au collège, la fermeture d’une classe dès le premier cas de Covid, la généralisation de l’enseignement à distance, les auto-tests, les capteurs de CO2…
Dans les départements, les conséquences de l’inclusion scolaire systématique rendent la situation intenable pour les personnels.
En réponse à l’obstination du ministre qui refuse de s’engager vers une amélioration des conditions d’emploi des AESH et en réponse à la dégradation de leur mission depuis la création des PIAL, les organisations CGT éduc’action, FNEC-FP-FO, FSU, SNALC, SNCL-FAEN, SUD éducation appellent les personnels à la grève le 8 avril.
Mardi 16 février a eu lieu une réunion dite « sanitaire » avec le Directeur de cabinet du ministre. La FNEC FP-FO est tout d’abord intervenue pour déplorer que celle-ci se tienne en visio alors que les personnels sont tous dans leur classe. La FNEC FP-FO a demandé le retour de toutes les instances départementales, académiques et nationales en présentiel.
Mardi 26 janvier, par la grève et la manifestation, les personnels de l’Education Nationale ont réaffirmé leurs exigences de créations massives de postes et de recrutement immédiat de personnels, en particulier les candidats au CRPE inscrits sur liste complémentaire, d’augmentation des salaires et leur rejet du Grenelle.
Suite à notre intervention, l’Inspecteur d’Académie nous informe qu’il nous « fera parvenir un pré-projet de carte scolaire d’ici la fin de la semaine »
Tout nous conduit à l’exigence de plus d’éducation pour tous les jeunes dans un contexte où les inégalités continuent à se creuser et où les réformes menées par le ministre les aggravent. Les moyens consacrés à l’éducation ne sont pas à la hauteur des exigences, la situation sanitaire en est un révélateur flagrant. Afin de baisser les effectifs par classe à court et moyen terme et de prendre en compte l’état de fatigue des personnels, épuisés par des années de dégradation des conditions de travail, il faut en urgence engager les recrutements nécessaires, notamment en recourant aux listes complémentaires.
Lors du comité technique ministériel du 16 décembre, le ministre a présenté la répartition des postes créés en 2021 par académie. Notre fédération, la FNEC FP-FO, y a rappelé une nouvelle fois qu’il fallait des postes maintenant, tout de suite, et que le ministre pouvait les pourvoir en recrutant la totalité des candidats inscrits sur les listes complémentaires et en réabondant celles-ci. Les représentants du ministre n’ont toujours pas répondu… La situation catastrophique dans laquelle se trouvent les écoles et les établissements n’est visiblement pas leur préoccupation !
La FNEC FP-FO a participé à deux audiences concernant l’Éducation prioritaire. La secrétaire d’État à l’Éducation prioritaire et ses représentants ont exposé leurs premières intentions.
Lundi 16 novembre, le Ministre Blanquer a présenté, en grande pompe dans les médias, son « Grenelle » comme une revalorisation des enseignants.
Retrouvez ici la motion votée par 15 directeurs d’école réunis par le Snudi FO lors de la RIS du 4 novembre 2020
Communiqué de presse intersyndical concernant la situation sanitaire dans les écoles.
Suite à l’assassinat de Samuel Paty, le ministère avait annoncé dans les médias un dispositif particulier dans les écoles pour la rentrée lundi 2 novembre : rentrée des élèves à 10h, activités pédagogiques imposées autour de cet événement tragique, minute de silence…
Le ministre a réuni jeudi 29 octobre les organisations syndicales concernant les conditions dans lesquelles vont se dérouler la rentrée scolaire suite aux déclarations du Président Macron. Alors que le gouvernement communique sur la progression et la dangerosité de l’épidémie, où en sommes-nous des revendications concernant la protection du personnel enseignant ?
Le Président Macron a décrété mercredi un nouveau « confinement » en mettant en avant la progression de l’épidémie et la saturation des lits d’hôpitaux.
Il a annoncé que les écoles, les collèges et les lycées resteront ouverts…
Cela pose une nouvelle fois la question de la protection des personnels.
Suite à l’assassinat odieux de notre collègue Samuel Paty, tous les personnels sont sous le choc. Mais l’émotion laisse rapidement place à la colère.
La FNEC FP-FO avec sa Confédération a pris toute sa place dans les initiatives et rassemblements en soutien à la famille de Samuel Paty, à ses collègues, en défense des libertés individuelles, de la liberté d’instruire, de la liberté pédagogique.
Les organisations syndicales dites « représentatives » ont été invitées par le ministère à assister à un « point d’étape » sur la situation sanitaire. Les chiffres COVID du Ministère une semaine avant la sortie ont été donnés : 30 établissements fermés, 300 classes, 1 000 cas confirmés quotidiens (1/3 personnels 2/3 élèves) soit moins de 0.1%
Le ministère a présenté mardi 13 octobre ce qu’il appelle « la revalorisation des enseignants et assimilés » dans le cadre de son « Grenelle ».
Dans le cadre de l’Agenda social, les organisations syndicales étaient réunies le mercredi 7 octobre, pour la 3 ème fois depuis septembre, afin d’aborder les missions et les responsabilités des directeurs/directrices d’école en lieu et place de la discussion sur une éventuelle augmentation indemnitaire et sur l’augmentation des décharges.
Une circulaire sur les fonctions et les conditions de travail des directeurs et directrices d’école est parue au BO du 27 août.
Bien loin de répondre aux demandes sur la direction d’école en termes de décharges statutaires, d’indemnités, d’aide administrative et d’allègement réel des tâches, cette circulaire met déjà en place les jalons du projet de loi Rilhac, actuellement en discussion au Parlement, qui vise à rendre autonome les écoles et à faire des directeurs les simples exécutants de la politique éducative décidée au conseil d’école, dans lequel les enseignants sont minoritaires.