Fin avril, la FNEC FP-FO a de nouveau porté les revendications des AESH lors d’une audience au ministère.
Cadre de gestion des AESH : Toujours pas de statut, ni de vrai salaire !
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Fin avril, la FNEC FP-FO a de nouveau porté les revendications des AESH lors d’une audience au ministère.
La déclaration de la FNEC-FP-FO du CSA du 31 août 2023. A lire dans cette rentrée mouvementée !
Le gouvernement refuse toujours de répondre aux revendications des collègues AESH : un vrai Statut, un vrai salaire et l’abandon des PIAL.
Les annonces du ministre Ndiaye concernant les évolutions et les conditions d’emploi des AESH sont de l’enfumage.
Plus de 230 inscriptions ! Plus de 150 connexions ! 58 départements représentés ! Une dizaine de comités départementaux d’AESH présente ! 26 prises de parole. La réunion nationale AESH/AED a été un véritable succès.
Alors que la FNEC FP-FO a participé à tous les groupes de travail du ministère pour exiger les augmentations de salaires, la refonte de la grille salariale, un vrai statut et l’abandon des PIAL, le ministre ne répond à aucune revendication.
Les personnels en ont assez des PIAL et des mesures de démantèlement de l’école.
Depuis un an, les mobilisations des personnels AESH ont été des succès incontestables, démontrant que la colère s’amplifie. Ces mobilisations, largement relayées dans les médias, rassemblent des cortèges imposants partout en France : la mobilisation ne faiblit pas.
La quatrième convention nationale réunie le mercredi 10 novembre afin de faire un bilan concernant la montée à Paris et de réfléchir à une poursuite de nos actions, réaffirme l’appel de la troisième convention du 6 octobre.
Le responsable de la catastrophe… c’est le ministre ! Allons manifester sous ses fenêtres mardi 19 octobre !
En cette rentrée scolaire, les AESH prennent connaissance de la nouvelle grille de salaire instaurée cet été par le ministre Banquer. Ils constatent que cette pseudo-revalorisation les maintient toujours sous le seuil de pauvreté et ne correspond ni de près ni de loin à leur exigence d’un véritable salaire et d’un véritable statut de la fonction publique.
Un nouveau cadre de recrutement de rémunération des AESH sera instauré au 1er septembre 2021. Le décret et arrêté ont été publiés au journal officiel du 24 août. Ces textes prévoient un avancement automatique des AESH tous les 3 ans, une nouvelle grille qui se traduit par une augmentation indiciaire pour chaque niveau, le reclassement de tous les AESH en fonction de leur ancienneté.
Le ministre Blanquer a rendu 200 millions d’euros au ministère de l’économie cette année. En 2021, il attribuerait, seulement 40 à 60 millions d’euros pour les AESH dont le salaire est inférieur au seuil de pauvreté (1086€ de revenus mensuels). Cela revient à environ 28 à 42€ bruts (23 à 34€ nets) par mois par personne puisque le ministère annonce aujourd’hui 118 000 AESH recrutés par l’Education nationale, à supposer une répartition égale entre les personnels. Rien n’est pour le moment précisé sur les modalités selon lesquelles cette enveloppe sera répartie mais il a été question de « modification de l’espace indiciaire ».
Plus de 1 500 à Paris, 250 à Marseille, 250 à Lyon, 300 à Toulouse, 60 à Rennes, 250 au Mans, 200 à Lille, 40 à Evreux, 50 à Tours, 150 à Montpellier, 40 à Angers, 100 au Puy-en-Velay, 150 à Clermont, 30 à Bourg-en-Bresse 120 à Calais, 100 à Saint-Etienne, 100 à Carcassonne, 100 à Grenoble, 100 à Laval, 100 à Saint-Denis (Réunion)…
Le premier Conseil Académique de Formation s’est réuni ce jour. Il traitera désormais de l’élaboration du plan de formation de tous les personnels.
Jérôme Thébaut y siégeait pour la FNEC FP-FO. Ce conseil académique s’inscrit dans la logique du Grenelle du Ministre qui veut « accompagner » (=suivre) tous les personnels et éclater le fonctionnement actuel de l’école.
L’intersyndicale nationale CGT éduc’action, FNEC-FP-FO, FSU, SNALC, SNCL-FAEN, SUD éducation appelle à une nouvelle journée de grève le 3 juin pour obtenir satisfaction aux revendications légitimes des AESH pour l’amélioration des salaires et la création d’un véritable statut, contre les PIAL et la précarité.
Alors que les AESH (Accompagnants des Elèves en Situation de Handicap) seront en grève à l’appel de la FNEC FP-FO, FO Enseignement Agricole, la FSU, la CGT éduc’action, SUD éducation, le SNALC, le SNCL-FAEN, le jeudi 3 juin 2021 et qu’un décret « coopération » poursuivant une politique inclusive sans moyens ni expertise systématique passera en CNOSS (Comité National de l’Organisation Sanitaire et Sociale) mardi prochain ; les fédérations FAGE-FO, FNAS-FO, FNEC-FP FO et FSPS-FO font le constat que les moyens mis au service de la scolarisation des élèves en situation de handicap sont loin d’être à la hauteur des besoins.
Les réunions AESH à l’initiative de FO sont nombreuses. Ce qui s’exprime, c’est un profond ras-le- bol. « Ce n’est plus possible ! » dit l’une d’entre elle dans une réunion à Metz.
C’est cette colère qui s’est exprimée le 26 janvier mais aussi le 8 avril, qui a réuni plusieurs milliers de manifestants.
La FNEC FP-FO a été reçue par le DGRH adjoint, Marc Estournet et par la sous-directrice des études de gestion prévisionnelle et statutaires.
L’intersyndicale nationale CGT éduc’action, FNEC-FP-FO, FSU, SNALC, SNCL-FAEN, SUD éducation appelle à une nouvelle journée de grève le 3 juin pour obtenir satisfaction aux revendications légitimes des AESH pour l’amélioration des salaires et la création d’un véritable statut, contre les PIAL et la précarité.
Montreuil, le 26 avril 2021 à Vincent SOETEMONT Directeur Général des Ressources Humaines du Ministère de l’Éducation nationale Objet : Demande d’audience relative aux inégalités de traitement entre les personnels…
Il y a trois semaines, avant la décision du président Macron de fermer les écoles et de fusionner les trois zones de vacances, les écoles se trouvaient dans une situation chaotique du fait du manque de postes et de personnels pour faire face à la situation et de l’insuffisance des mesures de protection pour les personnels.
A la veille de la rentrée du 26 avril dans les écoles, aucun problème n’est réglé. Le ministre persiste en effet dans son refus de répondre à la moindre des revendications des personnels.
Malgré les restrictions de nos libertés, plus de 1000 à Paris, 500 à Tours, 250 à Lyon, 100 à Toulouse, 70 à Avignon, 60 à Pau, 50 à Beauvais, 40 à Bourg-en-Bresse, 50 à Saint-Etienne, 50 à Mont-de-Marsan, 50 à Laval, 40 à Nantes…
Malgré le confinement et les restrictions, sur l’air des Gilets jaunes, les AESH, les enseignants, les parents d’élèves, ont scandé, dans la rue, leurs revendications.
Retrouvez ici les photos du rassemblement des enseignants et AESH hier devant préfecture de Tours, rejoint par les personnels de l’action sociale et soignants en grève.
Dans les départements, les conséquences de l’inclusion scolaire systématique rendent la situation intenable pour les personnels.
En réponse à l’obstination du ministre qui refuse de s’engager vers une amélioration des conditions d’emploi des AESH et en réponse à la dégradation de leur mission depuis la création des PIAL, les organisations CGT éduc’action, FNEC-FP-FO, FSU, SNALC, SNCL-FAEN, SUD éducation appellent les personnels à la grève le 8 avril.
Le 26 janvier, les AESH, aux côtés des autres personnels de l’Éducation, se sont mobilisés pour leurs revendications. Dans les réunions FO (Lyon, Bobigny, Évry…) les AESH sont nombreux et c’est la colère qui s’exprime. Les AESH sont en première ligne. Les AESH vivent dans la précarité, aggravée par les PIAL. Les AESH exercent de vraies missions, ils veulent un vrai statut et un vrai salaire. Comme les personnels de la fonction publique hospitalière, ils veulent immédiatement 183€ d’augmentation indiciaire !
Appel FNEC FP-FO 37, FSU 37, CGT Educ 37, Sud Education 37
L’augmentation de la CSG au 1er janvier 2018 entraînait, pour l’ensemble des personnels, une baisse de salaire. La FNEC FP-FO, avec la FGF-FO, a exigé une compensation.
Une indemnité compensatrice a été instaurée pour les fonctionnaires et les agents non-titulaires recrutés avant le 1er janvier 2018.
Les organisations syndicales FNEC FP-FO, Sud Education et CGT Educ’Action ont pris connaissance des déclarations du président puis du ministre concernant les dispositions envisagées à partir du 22 juin.
Que constate-t-on dans les écoles depuis les annonces du président Macron puis du ministre Blanquer concernant les dispositions envisagées à partir du 22 juin ?
Un nouveau protocole pour faire exploser l’école publique !