Tout comme à Marseille où le président et le ministre prévoient la dérèglementation, la privatisation de l’Ecole, le ministre cherche à privatiser et déréglementer l’action sociale. A Marseille, les rythmes scolaires et l’organisation générale pourraient être adaptés en lien avec les acteurs extrascolaires, dont des associations. Dans l’action sociale, le ministre crée un comité d’entreprise au statut d’association, instaurant une logique d’entreprise, contre nos droits statutaires.