La FNEC FP-FO a appris avec sidération le décès d’une enseignante mercredi 22 février, poignardée en plein cours par un élève dans un lycée de Saint-Jean-de-Luz. Elle présente ses sincères condoléances à sa famille, ses proches et ses collègues.
Ce drame a provoqué une vive émotion chez les personnels du ministère de l’Education nationale. Ce n’est malheureusement pas la première fois qu’un agent est tué dans l’exercice de ses fonctions. Les agressions, les faits de violences à l’encontre des personnels se multiplient.
Il est impossible d’accepter leur banalisation.
Pour la FNEC FP-FO les personnels doivent être protégés, pas seulement par des discours.
Ce drame doit conduire le ministère à prévenir toute nouvelle violence. Cela passe par l’arrêt des suppressions de postes, la création des postes nécessaires (administratifs, vie scolaire, médico-sociaux, psychologues, enseignants, enseignants spécialisés…), le respect des missions et des statuts, et le rétablissement des CHSCT supprimés par la loi Travail et la loi de Transformation de la Fonction publique